Nina Roux, 24 ans, étudiante en arts visuels, Paris, France

J’ai compris que l’inachevé ne veut pas dire “raté”. Juste “en cours”.

Avant ELEVIA, je me sentais coupable de ne pas tout finir, tout maîtriser.
J’avais l’impression que ralentir, douter ou laisser des choses ouvertes, c’était échouer.

Mais avec leurs outils, j’ai appris à accueillir mon rythme comme une sagesse.
À comprendre que chaque étape de mon chemin, même floue ou bancale, a de la valeur.

Aujourd’hui, je respire mieux dans l’inconnu. Je vis mes projets comme des processus, pas comme des cases à cocher. Et ça change tout.

Nos adhérentes disent

Fermer les yeux, pas pour fuir, mais pour me retrouver… C’est devenu mon ancrage.

Héloïse Dumont, 46 ans

Déposer ma charge mentale avant de dormir m’aide à mieux rêver. Littéralement.

Sophie Bellanger, 31 ans

Ce soir, je n’ai rien fait… et c’était parfait. J’ai juste accueilli ce que je ressentais

Élise Martineau, 42 ans

Ce soupir que je pousse en silence… c’est ma prière du soir. Ce soupir que je pousse en silence… c’est ma prière du soir.

Anne-Sophie Giraud, 39 ans

Avant, je pensais qu’il fallait “tout faire” pour avoir la paix. Maintenant, je choisis la paix directement.

Jade Lemoine, 22 ans

Fermer les yeux, pas pour fuir, mais pour me retrouver… C’est devenu mon ancrage

Héloïse Dumont, 46 ans